Mes 8 jours en Egypte

Mes 8 jours en Egypte ( p 2 / 13 )

Nous navigons maintenant vers Kom-Ombo. Sur le Nil, nous y croisons d'autre bateau de croisière. Certains sont très beaux, d'autre de vraies épaves. Tiens, petit cours de navigation : après la proue du bateau, allons voir la poupe de ce dernier.

A cause du retard prit lors du passage de l'écluse, nous n'irons pas visiter le temple de Kom-Ombo mais nous y ferons une petite escale d'une heure et demie pour y acheter des vêtements Egyptiens : soirée Egyptienne oblige.

Alors en Egypte il faut toujours NE-GO-CIER!!! Même pour acheter des cartes postales!!! Et c'est parti pour 15 minutes de négociation pour acheter un Djelaba, et 15 autres minutes pour 2 chemises. Les gens sont beaucoup moins agressifs ici par rapport à Edfu. Tout le monde prend la négociation comme un jeu et avec le sourire. D'ailleurs, ce vendeur nous à bien fait rigoler en nous disant "Moi Mustafa, moi pas Ali Baba". Bon, il est vrai que cette phrase ne détrone en rien celle que nous avons entendu à Edfu : "Ici, c'est moins cher que gratuit".

Ce soir, sur le bateau, c'est soirée Egyptienne. Paul est Viviane portent bien le déguisement. Le champagne étant hors de prix, nous nous retournons vers du Vin Egyptien. "Garçon, une bouteille de vin s'il vous plait". Et place au buffet, en passant par la table des desserts. Ah, notre planning pour demain est affiché. Youssef, tu t'occupes du réveil?

Oulà, nous ne nous sommes pas réveillé tandis que tout le monde est déjà parti visiter Philaé. Tant pis, allons prendre un rafraichissement au bar. Mmm, il a l'air bon ton cocktail. Maintenant, un petit bronzage sur le pont s'impose, il serait dommage de ne pas profiter du soleil. Nous terminons de boire nos verres à l'avant du bateau en regardant les bateaux passer.

Nous retrouvons le groupe au repas du midi. Là, Gloria, Eric et Roselyne nous racontent leur matinée. Puis l'après midi, nous les accompagnons pour continuer la visite de Philaé. Nous prenons un taxi incroyable. "Peugeot, voiture française, très solide" disait notre chauffeur Jimmy. Nous etions à 8 dans ce break. Dans le coffre, je comptais pas moins de 3 roues de secours! Et l'odeur d'huile de moteur emplissait l'habitacle du véhicule. Jimmy nous donnait des leçons de conduite Egyptienne. Les feux rouges sont facultatifs, les verts sont décoratifs. Quand nous devions monter des cotes dignes de l'Alpes d'Huez, je ne vous raconte pas la fumée que la voiture rejetait, et nous ralentissions jusqu'a se demander si nous n'allions pas devoir descendre pour pousser, c'était génial.

Nous allons voir le barrage d'Assouan. Jimmy passe de chauffeur de taxi à guide pour touriste. Il nous renseigne sur les caracteristiques du barrage et nous raconte qu'ici, les crocodiles vivent en masse dans ce lac artificiel. L'immense retenue d'eau formée par le barrage a été baptisée lac Nasser en l'honneur du président égyptien Gamal Abdel Nasser. Ce lac artificiel couvre une surface d'environ 500 km de long, 16 kilomètres de large et pénétre de 150 km dans le territoire du Soudan.
Toutes les 5 minutes, il trouve toujours un mot pour interpeller Gloria. Il a un faible pour elle, ça crève les yeux et on s'en amuse tous, du style :"Jimmy, Gloria à chaud, peux-tu ouvrir la fenêtre?". Tiens, une japonaise qui utilise son parapluie comme pare-soleil...ah ces japonaises.

Nous pouvons trouver un complément d'informations sur ce barrage en regardant ces 2 tableaux explicatifs. Allez Youssef, traduit nous tout ça :) La construction du barrage à commencé en 1960, terminée en janvier 1971. Puis Jimmy nous emmène en bas de ce barrage. Les autres personnes de notre groupe qui suivent le guide ne sont pas descendu jusque là. Nous reprennons ensuite la route vers le temple de Philaé.

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Nous navigons maintenant vers Kom-Ombo. Sur le Nil, nous y croisons d'autre bateau de croisière. Certains sont très beaux, d'autre de vraies épaves. Tiens, petit cours de navigation : après la proue du bateau, allons voir la poupe de ce dernier.

		A cause du retard prit lors du passage de l'écluse, nous n'irons pas visiter le temple de Kom-Ombo mais nous y ferons une petite escale d'une heure et demie pour y acheter des vêtements Egyptiens : soirée Egyptienne oblige.

Alors en Egypte il faut toujours NE-GO-CIER!!! Même pour acheter des cartes postales!!! Et c'est parti pour 15 minutes de négociation pour acheter un Djelaba, et 15 autres minutes pour 2 chemises. Les gens sont beaucoup moins agressifs ici par rapport à Edfu. Tout le monde prend la négociation comme un jeu et avec le sourire. D'ailleurs, ce vendeur nous à bien fait rigoler en nous disant "Moi Mustafa, moi pas Ali Baba". Bon, il est vrai que cette phrase ne détrone en rien celle que nous avons entendu à Edfu : "Ici, c'est moins cher que gratuit".

		Ce soir, sur le bateau, c'est soirée Egyptienne. Paul est Viviane portent bien le déguisement. Le champagne étant hors de prix, nous nous retournons vers du Vin Egyptien. "Garçon, une bouteille de vin s'il vous plait". Et place au buffet, en passant par la table des desserts. Ah, notre planning pour demain est affiché. Youssef, tu t'occupes du réveil?

Oulà, nous ne nous sommes pas réveillé tandis que tout le monde est déjà parti visiter Philaé. Tant pis, allons prendre un rafraichissement au bar. Mmm, il a l'air bon ton cocktail. Maintenant, un petit bronzage sur le pont s'impose, il serait dommage de ne pas profiter du soleil. Nous terminons de boire nos verres à l'avant du bateau en regardant les bateaux passer.

		Nous retrouvons le groupe au repas du midi. Là, Gloria, Eric et Roselyne nous racontent leur matinée. Puis l'après midi, nous les accompagnons pour continuer la visite de Philaé. Nous prenons un taxi incroyable. "Peugeot, voiture française, très solide" disait notre chauffeur Jimmy. Nous etions à 8 dans ce break. Dans le coffre, je comptais pas moins de 3 roues de secours! Et l'odeur d'huile de moteur emplissait l'habitacle du véhicule. Jimmy nous donnait des leçons de conduite Egyptienne. Les feux rouges sont facultatifs, les verts sont décoratifs. Quand nous devions monter des cotes dignes de l'Alpes d'Huez, je ne vous raconte pas la fumée que la voiture rejetait, et nous ralentissions jusqu'a se demander si nous n'allions pas devoir descendre pour pousser, c'était génial.

Nous allons voir le barrage d'Assouan. Jimmy passe de chauffeur de taxi à guide pour touriste. Il nous renseigne sur les caracteristiques du barrage et nous raconte qu'ici, les crocodiles vivent en masse dans ce lac artificiel. L'immense retenue d'eau formée par le barrage a été baptisée lac Nasser en l'honneur du président égyptien Gamal Abdel Nasser. Ce lac artificiel couvre une surface d'environ 500 km de long, 16 kilomètres de large et pénétre de 150 km dans le territoire du Soudan. Toutes les 5 minutes, il trouve toujours un mot pour interpeller Gloria. Il a un faible pour elle, ça crève les yeux et on s'en amuse tous, du style :"Jimmy, Gloria à chaud, peux-tu ouvrir la fenêtre?". Tiens, une japonaise qui utilise son parapluie comme pare-soleil...ah ces japonaises.

		Nous pouvons trouver un complément d'informations sur ce barrage en regardant ces 2 tableaux explicatifs. Allez Youssef, traduit nous tout ça :) La construction du barrage à commencé en 1960, terminée en janvier 1971. Puis Jimmy nous emmène en bas de ce barrage. Les autres personnes de notre groupe qui suivent le guide ne sont pas descendu jusque là. Nous reprennons ensuite la route vers le temple de Philaé.